En partenariat avec l'association "Histoires d'Histoire" de Châteauneuf de Galaure, l'auteure
Michèle AUDIN, passionnée par la Commune de Paris est venue présenter ses deux derniers livres sur le thème "Le peuple est dans la rue" à la Médiathèque Jean-Marc Bernard.
Dans son récit "Comme une rivière bleue", histoire de la commune de Paris, l'auteure évoque cette période, non pas du point de vue global de l'histoire, mais de celui des Communards de base, ceux des quartiers en pleine ébullition, des faubourgs populaires, de ceux qui tiennent des réunions enflammées par la passion de transformer le monde.
Le deuxième livre relate la vie d'Eugène VARLIN, ouvrier relieur 1839-1871. Il fut l'une des grandes figures de l'association internationale des travailleurs élus de la commune de Paris en 1871, assassiné à la fin de la semaine sanglante.Tous ses écrits retrouvés à ce jour (articles, proclamations, lettres) connus ou moins connus sont présentés dans ce livre.
Ces deux ouvrages sont à votre disposition à la Médiathèque.
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Samedi 28 septembre, la médiathèque
Jean Marc BERNARD avait l’honneur de recevoir
les auteurs de « Subir…
mais lutter » Alain Coustaury, Danielle Bertrand, Jean
Sauvageon, Claude et Michel Seyve.
La présentation, faite
simultanément par les auteurs autour de commentaires de photos
projetées a été suivi par un nombreux auditoire très intéressé.
Ce livre présente une
synthèse de ce qu’ont vécu les Drômoises et les Drômois pendant
la Seconde Guerre mondiale. Tous les aspects y sont abordés, depuis
l’invasion du nord de la Drôme par les troupes allemandes, en juin
1940 et au-delà de la Libération, la renaissance du département,
les prisonniers de guerre, l’accueil des réfugiés lorrains, des
juifs, des intellectuels, l’embrigadement de la jeunesse, les
maquis, le rôle des femmes, les restrictions, sans oublier les
sabotages, les combats, les bombardements.
A l’issue de la présentation, des échanges se sont poursuivis entre les auteurs et les participants autour du verre de l’amitié.
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Une quarantaine de personnes avaient répondu à l'invitation de l'équipe de la médiathèque, dont Mme Emmanuelle ANTHOINE, députée, Mme Patricia BOIDIN, maire d'Anneyron, M. Pierre JOUVET, président de la communauté de communes Porte de Drôme-Ardèche, tous les trois également conseillers départementaux.
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| Avec la participation de M. SAUVAGEON |
Pendant une heure et demie Monsieur Sauvageon a su capter son auditoire en parlant de sa vie et des évènements marquants de la Drôme depuis la Révolution.
Moments qui nous ont paru très courts tant ces évocations étaient captivantes.
Des échanges fort sympathiques ont eu lieu au cours de l'apéritif dînatoire qui suivit. Ce dernier fut préparé et offert par les bibliothécaires.
14-18 : Evocation :
Madame Anne VALDENAIRE PIOLLET nous a rapporté les événements les plus marquants de ce conflit mondial.
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| Anne Valdenaire,historienne narratrice et Lucette Boyer, lectrice |
Cette évocation était ponctuée de lectures interprétées par
Madame Lucette BOYER.
Nous étions une trentaine de
personnes, attentives et émues.
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Fac similé "traité de paix" |
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| Une trentaine de participants |
Merci à nos intervenantes, Anne et Lucette,
à la municipalité,
à la municipalité,
à notre
fidèle public,
et aux bénévoles qui n'ont pas manqué d'offrir
un verre de l'amitié copieux
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Rencontre avec Christine MACHUREAU
Nous étions 35 pour l'écouter nous parler de ses différents livres.
Notamment "L'Hérétique" La tourmente Cathare, ainsi que d'autres livres comme :
D'Or de sang et de soie et l'ADN d'un Dieu.
Même si le niveau de l'échange était élevé, il n'en restait pas moins convivial.
Un apéritif avait été préparé par les bénévoles.
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SUCCES DE LA RENCONTRE LITTERAIRE
Dans le cadre du « festival
enquêtes d’histoires » de MORAS sur le thème « 1936
les fronts populaires », Monsieur Philippe HUET a été reçu à
la Médiathèque Jean Marc BERNARD.
Une trentaine de personnes avait
répondu à l’invitation des bibliothécaires et a pu assister à
la présentation de son dernier livre « le feu aux poudres »
Au préalable, Monsieur HUET a été
rédacteur en chef au journal Paris Normandie et pendant 15 ans a
couvert de grands événements : déplacements présidentiels,
tour de France, des guerres ( Liban), de grands procès ou encore la
catastrophe d’ERMENONVILLE où il est arrivé le premier sur les
lieux.
EN 1989 il démissionne et entame une
carrière littéraire qui inclura des œuvres biographiques, des
romans noirs et sociaux.
Originaire du Havre qui reste le
bastion des luttes sociales, l’auteur décrit dans une
trilogie la vie des ouvriers de cette ville et fait revivre
dans la plus pure tradition la naissance des luttes sociales .
Le premier roman de cette trilogie
Le quai de la
colère paru en 2006 relate la vie
des ouvriers en 1910.
En 2015 ,
paraît les émeutiers
C’est un roman historique dans la
tradition de Jules VALLES et d’Emile ZOLA, qui peint la vie des
ouvriers du Havre en 1922.
En 2016 La feu
aux poudres paru en mai de cette année relate
la période de 1936, est qualifié aussi de roman ZOLIEN.
Electrisé par la victoire du Front
populaire, le monde ouvrier s’oppose au patronat.
C’est aux usines BREGUET fer de
lance de l’industrie aéronautique, que l’incident met » le
feu aux poudres » Cette affaire fut surnommée « l’affaire
DREYFUS des pauvres »
La présentation de ce livre par
M.HUET a été passionnante suivie par un auditoire attentionné et
captivé de surcroît.
De nombreux échanges très fructueux
ont eu lieu et de plus, une grand nombre de participants est
allée rencontrer l’auteur à Moras, dimanche après -midi.
Devant ce succès, toute l’équipe
rambertoise remercie Madame Porte présidente de la médiathèque de
Moras et Monsieur Alain LEZE du bazart des mots d’Hauterives qui
ont permis l’accueil d’un auteur dans nos murs.
Ces trois livres sont évidemment à la
médiathèque et vous pourrez venir les emprunter.
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Elisabeth avait été retardée par le brouillard, mais lorsqu'elle a été parmi nous et qu'elle nous a retracé l'histoire de la poésie les souvenirs ont ressurgi dans notre mémoire... et nous avons partagé beaucoup de plaisir !
C'est pourquoi notre temps de café-lecture a été employé à découvrir ses trésors: livres, poèmes, acrostiches, et surtout ses deux derniers ouvrages : "PRESENCE" et "ECLATS DU COEUR".
Nous vous livrons un de ses "acrostiches" parmi tant d'autres, sachant que nous en avons à votre disposition à la médiathèque pour un coût très modique.
BONHEUR
"Bonsoir, Bonheur !
"Où étais-tu donc passé ?
" Nous avons cru te perdre !
"Ho ! Que cela aurait été dommage...
"Enfin, nous te retrouvons avec joie.
"Une seule chose compte maintenant :
"Reste ici sans peur et indéfiniment !"
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En septembre nous avons reçu
Monsieur Daniel ARANJO, professeur des universités à TOULON qui est
venu à Saint Rambert, sur les pas de Jean Marc Bernard.
Cet écrivain a publié un livre
sur les huit poètes de l'école fantaisiste dont Jean Marc
BERNARD occupe une très grande place. (Il a organisé aussi un
colloque sur l'école fantaisiste en 2001).
Comme il se doit, Monsieur ARANJO a été reçu à la médiathèque.Une rencontre a eu lieu avec Anne PIOLLET VALDENAIRE, passionnée par les productions littéraires de notre poète Rambertois et Jean Marc COINDET détenteur des lettres que Jean Marc Bernard adressait à sa maman lorsqu'il était au front.
Monsieur ARANJO a trouvé ces lettres captivantes et les échanges ont été très riches entre nos récipiendaires.
De ce fait, le congrès de la société de littérature générale consacré à la guerre de 1914 va pouvoir publier ces lettres et le nom de JM COINDET sera clairement mentionné sur cette publication.
Nous vous accueillons avec plaisir pour venir consulter le livre sur les poètes de l'école fantaisiste et les deux livres que notre visiteur nous a offerts sur Jean Paul TOULET ( 1867-1920) membre lui aussi de l'école fantaisiste.
Comme il se doit, Monsieur ARANJO a été reçu à la médiathèque.Une rencontre a eu lieu avec Anne PIOLLET VALDENAIRE, passionnée par les productions littéraires de notre poète Rambertois et Jean Marc COINDET détenteur des lettres que Jean Marc Bernard adressait à sa maman lorsqu'il était au front.
Monsieur ARANJO a trouvé ces lettres captivantes et les échanges ont été très riches entre nos récipiendaires.
De ce fait, le congrès de la société de littérature générale consacré à la guerre de 1914 va pouvoir publier ces lettres et le nom de JM COINDET sera clairement mentionné sur cette publication.
Nous vous accueillons avec plaisir pour venir consulter le livre sur les poètes de l'école fantaisiste et les deux livres que notre visiteur nous a offerts sur Jean Paul TOULET ( 1867-1920) membre lui aussi de l'école fantaisiste.
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JEAN-MARC BERNARD
A l'occasion du centenaire de la mort du poète Jean-Marc BERNARD, la médiathèque du même nom, avait convié les rambertois à une évocation de ce dernier par Anne Piollet Valdenaire,
Présidente de l'association Antigone.
Anne nous a vivement intéressé par son exposé qu'elle a agrémenté de lectures de morceaux choisis, poèmes, lettres qu'il écrivait à sa mère depuis le front.
Jean-Marc BERNARD était un poète faussement léger, grand amateur de la littérature classique du XVIIème siècle, il rencontre à Valence le poète et prêtre Louis Le Cardonnel qui aura sur lui une grande influence esthétique et religieuse et le convaincra d'abandonner ses tendances symbolistes pour adopter une rigueur et une discipline classiques.
Avant la première guerre mondiale il fut de 1902 à 1912, en compagnie de Raoul Monier, l'un des animateurs de la revue poétique, satirique et monarchique "Les Guêpes" qui accueille entre autres Paul-Jean Toulet et Francis Carco.
Avec eux, il composait le groupe des "Fantaisistes" ou "Ecole Fantaisiste", en rupture avec les parnassiens et les symbolistes, dans lequel se situait notamment Tristan Derème, Jean Pellerin.
Proche de l'Action Française, dont il anima le cercle à Valence dès 1907, et disciple proclamé de Charles Maurras, il collabora également activement à la Revue critique des idées et des livres et à la revue d'Henri Martineau Le Divan.
Au bout de trois tentatives il réussit, malgré sa mauvaise vue, à être incorporé comme volontaire dans l'infanterie au début du conflit ; il fut tué en Artois, près de Carency.
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Rencontre/dédicace avec Jean-Paul DIDIER LAURENT, romancier, nouvelliste des Vosges, qui a écrit "Le liseur du 6h27".
"Peu importait le fond pour Guylain. Seul l'acte de lire revêtait de l'importance à ses yeux. Il débitait les textes avec une même application acharnée. Et à chaque fois, la magie opérait. Les mots en quittant ses lèvres emportaient avec eux un peu de cet écoeurement qui l'étouffait à l'approche de l'usine".
Guylain Vignolles est préposé au pilon et mène une existence maussade et solitaire, rythmée par ses allers-retours quotidiens à l'usine.
Chaque matin en allant travailler, comme pour se laver des livres broyés, il lit à voix haute dans le RER de 6h27 les quelques feuillets qu'il a sauvé la veille des dents de fer de la Zerstor 500, le mastodonte mécanique dont il est le servant. Un jour, Guylain découvre les textes d'une mystérieuse inconnue qui vont changer le cours de sa vie...
Son premier livre (après des "nouvelles" ayant reçu le prix Hemingway en 2010 et en 2012) rencontre un franc succès.
Nous avons eu le plaisir de partager un excellent moment avec cet auteur à la librairie d'Hauterives..."Le baz'art des mots"
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L’auteure Elisabeth LAFONT à LA MEDIATHEQUE
La Rambertoise Elisabeth LAFONT présentera son recueil de nouvelles « de l’ombre à l’aurore »le samedi 16 novembre à 10h 30 à la médiathèque Jean Marc BERNARD de Saint Rambert d’albon
Elisabeth est une passionnée de littérature. Depuis sa plus tendre enfance, elle gravite autour des livres. Sa maman a crée à Saint Rambert « la bibliothèque pour tous » et en a assuré la présidence pendant plusieurs décennies.
Son premier recueil de dix nouvelles nous enchante par leur variété et leur charme nostalgique.
Entrer dans ce livre, c’est se replonger dans un passé pas si lointain mais révolu.
Grâce à sa plume légère, mais précise, à son style raffiné, elle nous convie à une exploration du grenier de nos souvenirs. Une vieille dame dont le destin s’étire, un facteur qui prend le temps d’être heureux, des amoureux sur une plage excitent notre imagination.
Elisabeth, fine observatrice de la nature humaine, n’hésite pas à nous confronter aux drames secrets des campagnes un peu à la manière de MAUPASSANT.
Vous êtes tous, Rambertois ou non, invités à assister à cette rencontre.
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